En résonance avec le Duo Day et la semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées, je suis, comme chaque année, fortement mobilisée et impliquée pour défendre l’inclusion des personnes en situation de handicap dans la vie professionnelle.�C’est pourquoi, j’ai interrogé Sophie Cluzel, Secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées sur l’emploi des personnes en situation de handicap, sur les résultats d’une consultation sur l’accès et le maintien en emploi de ces personnes face à la crise de la COVID-19. Cette consultation met en exergue le risque de voir pour elles s’aggraver encore plus fortement le taux de chômage.�Il en ressort que 71% des personnes en situation de handicap, sont très pessimistes sur leurs chances de retrouver un emploi dans le trimestre à venir. Il est important de continuer à se battre pour faire changer de regard et, ensemble, faire dépasser les préjugés.

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Aujourd’hui, comme chaque année, partout en France, l'opération DuoDay permet la formation de duos entre des personnes en situation de handicap et des professionnels volontaires dans de nombreuses entreprises, collectivités ou associations.
Cette année, je ne peux malheureusement pas accueillir un participant comme à l’accoutumée.
J’en profite pour saluer Tristan et Jean-Marie, avec qui j’avais formé un binôme en 2018 et 2019 !
Je tiens à féliciter les 6.000 employeurs et 3.000 professionnels de l’accompagnement qui ont choisi de maintenir leur participation à ce Duo Day 2020, en basculant sur une formule distancielle.
Ils ont fait preuve de réactivité, de créativité et ont confirmé leur mobilisation pour l’emploi des personnes handicapées : webinaires, cafés-visio, rencontres virtuelles, présentations métiers en vidéo conférences.
Car c’est cela le DuoDay : créer la rencontre pour lever des freins.
DuoDay reste, particulièrement dans ce contexte, un formidable outil de rencontre professionnelle et une occasion unique pour le stagiaire comme pour l’employeur de partager sur leurs enjeux, métiers, projets, compétences … Et si rien n’égale bien-sûr le terrain et la rencontre physique, l’important est bien d’entrer en contact, d’échanger, de faire connaissance, pour amorcer un « APRES ».

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Dans l’hémicycle depuis hier soir – 21 h, à examiner la « Proposition de loi relative à la sécurité globale » visant à :
-> clarifier les rôles et les missions des policiers / gendarmes – policiers municipaux – agents privés de sécurité -> et à définir les termes d’un partenariat de la sécurité du quotidien.

Et encore un amendement rejeté !
Alors qu’il visait à permettre aux agents de police municipale de constater par procès-verbal l’ensemble des occupations illégales sur le territoire de leur commune.
Cette mesure aurait en effet permis de participer au renforcement des moyens de lutte contre les squatteurs.
Trop de souvenirs de propriétaires ou locataires évincés de leurs propres logements par des squatteurs, se retrouvant démunis …!

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Je soutien l’appel de mon ami, Nicolas Daragon, pour la reconnaissance internationale de la République du Haut-Karabagh (Artsakh). J’invite à nouveau le gouvernement français à sortir de "sa bienveillante neutralité ». Le lien et l’amitié entre la France et l’Arménie sont séculaires. Et aujourd’hui plus que jamais la France doit jouer son rôle au sein des instances internationales et européennes pour que soient défendues nos valeurs communes basées sur les principes judéo-chrétiens qui ont fondé notre continent et offert au monde des valeurs universelles telles que la défense des droits de l’homme et la protection des libertés fondamentales.
Avec mes collègues députés, j’ai notamment porté à l’assemblée nationale une nouvelle proposition de résolution sur la protection du peule arménien et des communautés chrétiennes d’Europe et d’Orient, qui sera débattue le 3 décembre prochain dans le cadre de notre « niche parlementaire ».

Lien pour consulter la proposition d résolution :
http://www.assemblee-nationale.fr/…/l15b3538_proposition-re…

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Il y a 5 ans jour pour jour, la France fut frappée par les pires attentats de son histoire. 130 personnes perdirent la vie et 413 furent blessées lors des attentats de Paris et Saint-Denis.
5 ans plus tard, ce qui ont voulu nous mettre à genoux peuvent voir que nous sommes toujours debout.
Unis face au terrorisme!
Unis en mémoire de ceux à qui ils ont arraché la vie!
Nous n’oublierons jamais les visages de ces femmes et de ces hommes et ce qui s'est passé ce jour là. Nous ne relâcherons jamais le combat contre le terrorisme.

Aujourd'hui rendons hommage à toutes ces personnes, à leur familles et à leurs proches.

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Ce matin, j’ai participé aux côtés du maire de Saint-Donat-sur-l'Herbasse, Claude Fourel, à la commémoration du 102 ème anniversaire de l’armistice de la Grande guerre.
Quatre années de guerre et de sacrifice. Quatre terribles années qui allaient à jamais marquer l’Histoire du monde. Mais quatre années d’unité nationale, une unité nationale aujourd’hui mise à mal par l’extrémisme et le communautarisme.
Alors, en mémoire de nos Poilus, restons unis!

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Commémoration de l'armistice du 11 novembre : les millions de Poilus qui ont sacrifié leur vie pour la France ne seront jamais oubliés. Nous leur devons notre liberté et notre sécurité.
La paix n'est jamais acquise. C'est pour cela que nous avons le devoir de nous souvenir de ce 11 novembre et de protéger le trésor de la réconciliation entre les peuples.
Une pensée particulière à nos soldats qui risquent leur vie en opérations extérieures pour la liberté de la France qui est aussi celle du Monde.

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Comme vous, j’ai appris par voie de presse qu’après six semaines de combats meurtriers dans le Haut-Karabakh, l’Arménie et l’Azerbaïdjan ont signé cette nuit de lundi un accord de «cessez-le-feu total», qui malheureusement consacre les avancées militaires de l’Azerbaïdjan.
Le Premier ministre arménien dit d’ailleurs avoir signé un accord «douloureux».

Je m'étais rendue fin octobre dernier en Arménie avec une délégation de parlementaires français, pour apporter notre soutien aux Arméniens et constater la situation dans l’espoir d’un rassemblement de la communauté internationale.

Retrouvez mon interview avec le journal « L’Impartial » sur mon déplacement et les propositions d’actions envisagées.

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✅ Si le BTP, les artisans et les entrepreneurs peuvent continuer à travailler, dans le respect des préconisations de sécurité sanitaire, pour autant le secteur se heurte à un certain nombre d’interrogations qui lui posent des difficultés au quotidien. Dans ce contexte particulier, j'ai souhaité alerter le gouvernement sur la nécessité d’apporter un certain nombre de clarifications et lever certains verrous qui perturbent gravement l’activité du secteur, sans que cela ne soit justifié par des mesures d’ordre sanitaire.

A ce titre, dans un courrier je demande au Premier ministre d'accéder aux demandes suivantes du secteur :
– permettre aux clients (particuliers et professionnels) de pouvoir se déplacer sans contraintes afin le suivre et de réceptionner leurs chantiers ;
– confirmer que des déplacements inter-régionaux à titre professionnel sont autorisés, quel que soit le périmètre, sous réserve de disposer d'un justificatif de déplacement professionnel de son employeur pour les salariés ou de l'attestation de déplacement dérogatoire pour les non-salariés ;
– permettre aux Travailleurs Non-Salariés (TNS) de ne pas renouveler chaque jour leur autorisation de déplacement
– veiller à ce que les autorisations temporaires d'installation d'engins (grue, engins de levage, etc.) ne soient pas interrompues ;
− réactiver les cellules mises en place par les préfets afin de faciliter la continuité de l'activité dans les territoires ;
− prévoir un délai supplémentaire pour le dépôt des dossiers de qualification des entreprises du bâtiment ;
− permettre aux entreprises du bâtiment subissant une perte d'activité parce qu'empêchées de réaliser leurs prestations d'être éligibles à l'activité partielle suivant les mêmes modalités que les entreprises relevant des secteurs protégés ou subissant une fermeture administrative ;
– confirmer que le fonds de solidarité est bien ouvert à l'ensemble des entreprises y compris celles relevant du secteur du bâtiment ;
– confirmer que les exonérations et reports de cotisations sociales pour les travailleurs indépendants et les employeurs ne sont pas limités aux seules entreprises fermées administrativement ou aux PME appartenant à certains secteurs d'activité ;
– autoriser explicitement un professionnel du bâtiment à pouvoir accueillir du public, dans le respect des règles sanitaires, afin d'assurer la vente de matériaux et équipements liés aux métiers du bâtiment pour lesquels il réalise des installations ou des aménagements ;
− autoriser explicitement les professionnels du bâtiment à assurer leurs rendez-vous commerciaux auprès de leurs clients ;
– confirmer l'application du principe de poursuite d'activité du BTP pour les ramoneurs même lorsque ces derniers ne relèvent pas du secteur du bâtiment ;
− autoriser explicitement les stagiaires du BTP à pouvoir faire leur stage en entreprise.

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Aujourd'hui nous commémorons le 50ème anniversaire de la disparition du Général de Gaulle !
Il incarnait la France dans ce qu’elle a de plus beau et de plus héroïque. Alors que la France traversait des temps troublés, il a redressé notre pays, rendu sa fierté à son peuple et défendu coûte que coûte sa souveraineté. C’est un phare qui nous guide encore aujourd’hui.
Comme bon nombre d’entre vous, j’éprouve une grande admiration à l’égard du Général de Gaulle qui a défendu, tout au long de sa vie, une « certaine idée de la France » ; fière de ses racines et de son histoire. Une France éternelle qu’il n’a cessé de défendre et d’aimer tout au long de sa vie.
En tant que Français, je ressens une profonde reconnaissance envers ce grand homme dont l’action a toujours été guidée par l’intérêt de la Nation et a su redonner à la France sa grandeur, dans une République forte et respectée, ouverte au monde, mais toujours respectueuse des valeurs de la République.

À l’heure où notre histoire redevient trouble, souvenons-nous du message universel du plus illustre des Français : « Au bout de nos peines, il y a la plus grande gloire du monde, celle des hommes qui n'ont pas cédé ».
Son héritage perdure et grâce à lui demeure une certaine idée de la France dont la Flamme est encore bien vivante.

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