Chaque année, nous nous retrouvons partout en France pour rendre hommage à Missak Manouchian et à ses 22 autres camarades, morts pour la France, exécutés par l’occupant allemand le 21 février 1944.
« Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent
Vingt et trois qui donnaient leur cœur avant le temps
Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant
Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir
Vingt et trois qui criaient la France en s’abattant »
Louis Aragon, « Strophes pour se souvenir » Le Roman inachevé, Paris, 1956. (Extrait)